Sparnatrail
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04112008
Sparnatrail
Après Nouvion, voici revenu le temps du Sparnatrail.
C'est dimanche 9 novembre à Epernay, départ à 8 heures pour 51 km dans les vignes et la forêt, pour l'instant un peu plus de 200 engagés mais peu d'Ardennais.
Où sont les baroudeurs ?
A bientôt pour le CR.
Michel
http://joggingepernay.free.fr/
C'est dimanche 9 novembre à Epernay, départ à 8 heures pour 51 km dans les vignes et la forêt, pour l'instant un peu plus de 200 engagés mais peu d'Ardennais.
Où sont les baroudeurs ?
A bientôt pour le CR.
Michel
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Michel- Messages : 281
Date d'inscription : 03/02/2008
Age : 70
Localisation : LIART
Sparnatrail :: Commentaires
Sparnatrail-CR
Salut
Dimanche matin, c'est sous une pluie battante qu'a été donné le départ du Sparnatrail. Au départ 284 coureurs qui hésitent à sortir du gymnase pour rejoindre la ligne située au bord du canal à 2 km de là. La température n'est pas trop fraîche mais le ciel est plombé et n'annonce rien de bien.
Aprés 6 km de plat mais déjà dans la boue et les flaques d'eau arrivent la première grosse difficulté, la montée sur Hautvillers avec en récompense , la traversée de l'abbaye offrant une vue magnifique sur Epernay et sa vallée . Puis les difficultés s'enchainent sur un terrain trés glissant et une terre "amoureuse" qui alourdie les runnings.
Aprés un passage en sous bois sur une couche de feuilles mortes fraichement tombées, c'est le premier ravito à Damery puis l'escalade reprend sur des chemins de vigne défoncés et ravinés où les appuis sont incertains. Beaucoup de passages techniques qui usent le coureur ou force à la marche; certains se croient obligés de prendre un bain de boue
Puis arrive le juge de paix au 30ème km, la côte de Chavot, c'est parti pour plus de deux kilomètres d'ascension avec en prime un talus glissant à escalader où la corde est nécessaire suivi d'un tobogan que beaucoup descendront sur le cul , en haut c'est le second et dernier ravitaillement, là un petit arrêt s'impose pour recharger la machine avant les 18 derniers kilomètres encore hérissés de pas mal de raidars quand enfin on aperçoit Epernay devant nous, mieux vaut ne pas crier victoire trop vite car le chemin de retour est tortueux et plein d'imprévus , ce n'est que dans les faubourgs de la ville qu'on peut relâcher un peu en retrouvant le goudron pour une arrivée au gymnase . Le ciel a eu la bonne idée de s'éclaircir pour la dernière heure et même de laisser le soleil percer
Pour moi ce sera 5 heures plus tard, soit 10 mn de plus que l'an dernier (ce fut le tarif pour beaucoup!) les derniers ne reliant l'arrivée qu'aprés 8 heures.
En réconfort, une bouteille de champagne étiquetée "Sparnatrail" qu'on dégustera au coin du feu cet hiver, une bonne Chimay aprés la douche et on est prés à repartir .... à la maison
C'est quand même un trail super sympa à deux pas de chez nous et pourtant j'ai repéré moins de 10 ardennais dans le classement ; ces courses ne sont pourtant pas légion dans le secteur.
Pour moi ,c'était la 3ème participation d'affilée et certainement pas la dernière !
Classement et photos sur:
http://joggingepernay.free.fr/
Dimanche matin, c'est sous une pluie battante qu'a été donné le départ du Sparnatrail. Au départ 284 coureurs qui hésitent à sortir du gymnase pour rejoindre la ligne située au bord du canal à 2 km de là. La température n'est pas trop fraîche mais le ciel est plombé et n'annonce rien de bien.
Aprés 6 km de plat mais déjà dans la boue et les flaques d'eau arrivent la première grosse difficulté, la montée sur Hautvillers avec en récompense , la traversée de l'abbaye offrant une vue magnifique sur Epernay et sa vallée . Puis les difficultés s'enchainent sur un terrain trés glissant et une terre "amoureuse" qui alourdie les runnings.
Aprés un passage en sous bois sur une couche de feuilles mortes fraichement tombées, c'est le premier ravito à Damery puis l'escalade reprend sur des chemins de vigne défoncés et ravinés où les appuis sont incertains. Beaucoup de passages techniques qui usent le coureur ou force à la marche; certains se croient obligés de prendre un bain de boue
Puis arrive le juge de paix au 30ème km, la côte de Chavot, c'est parti pour plus de deux kilomètres d'ascension avec en prime un talus glissant à escalader où la corde est nécessaire suivi d'un tobogan que beaucoup descendront sur le cul , en haut c'est le second et dernier ravitaillement, là un petit arrêt s'impose pour recharger la machine avant les 18 derniers kilomètres encore hérissés de pas mal de raidars quand enfin on aperçoit Epernay devant nous, mieux vaut ne pas crier victoire trop vite car le chemin de retour est tortueux et plein d'imprévus , ce n'est que dans les faubourgs de la ville qu'on peut relâcher un peu en retrouvant le goudron pour une arrivée au gymnase . Le ciel a eu la bonne idée de s'éclaircir pour la dernière heure et même de laisser le soleil percer
Pour moi ce sera 5 heures plus tard, soit 10 mn de plus que l'an dernier (ce fut le tarif pour beaucoup!) les derniers ne reliant l'arrivée qu'aprés 8 heures.
En réconfort, une bouteille de champagne étiquetée "Sparnatrail" qu'on dégustera au coin du feu cet hiver, une bonne Chimay aprés la douche et on est prés à repartir .... à la maison
C'est quand même un trail super sympa à deux pas de chez nous et pourtant j'ai repéré moins de 10 ardennais dans le classement ; ces courses ne sont pourtant pas légion dans le secteur.
Pour moi ,c'était la 3ème participation d'affilée et certainement pas la dernière !
Classement et photos sur:
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Qu'il est beau Michel, avec sa casquette blanche!
http://joggingepernay.free.fr/phpwebgallery/picture.php?/1800/category/32
Ca devait vraiment valoir le coup; bizarre qu'il n'y ait pas plus d'ardennais.
J'aurais dû y être, si ma cheville ne s'était pas mise à l'angle droit quinze jours plus tôt à Nouvion.
Mais l'an prochain, j'y serai! Même si tout le ciel nous tombe sur la tête.
Encore bravo à Michel et aux autres.
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Ca devait vraiment valoir le coup; bizarre qu'il n'y ait pas plus d'ardennais.
J'aurais dû y être, si ma cheville ne s'était pas mise à l'angle droit quinze jours plus tôt à Nouvion.
Mais l'an prochain, j'y serai! Même si tout le ciel nous tombe sur la tête.
Encore bravo à Michel et aux autres.
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